Les cafards ont des antennes très sensibles. Ils sont connus pour véhiculer des maladies comme les gastroentérites. Cela peut provoquer des empoisonnements alimentaires, des nausées, des douleurs au ventre, des vomissements, la diarrhée, la dysenterie et d'autres maladies.
Des allergènes sont transmis via les restes de la mue ou leurs excréments. Des crises allergiques mortelles leur sont imputables.
Comme dit précédemment, le seul facteur limitant la population des cafards c'est l'habitat. Donc si l'on diminue le nombre de fissures et crevasses, on diminue le nombre de cafards. Les cafards ont besoin de trois choses pour survivre. De la nourriture – de l'eau – un refuge. Il est souvent très difficile de réduire la quantité de nourriture à leur disposition. Même avec de bonnes conditions d'hygiène, les cafards trouvent une source de nourriture. Les reliures de livres, la colle ou même d'autres cafards suffisent à maintenir une population. L'eau est accessible dans la grande majorité des bâtiments. Elle peut provenir des canalisations, de fuites dans la toiture, de la pluie ou d'une tasse à café. Mais une sur-quantité d'eau et de nourriture augmente la probabilité d'une infestation. Du fait de ces besoins, on recherche normalement les cafards dans les zones où la nourriture et l'eau sont disponibles. Ce sont en premiers lieux les cuisines, les salles de bain ou encore les buanderies. La réduction de ces lieux est donc considérée comme « mesure sanitaire » par le guide pour la lutte intégrée contre les parasites. |
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